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De la Provence au Louvre

Annabel a passé toute son enfance, puis son adolescence dans la lumière de la Provence, entre Avignon et le Mont Ventoux .

Très tôt, elle manifesta un goût marqué pour le dessin, la peinture. Son père ainsi que Danièle Arnaud, diplômée de l’École des Beaux Arts de Paris l'initièrent aux techniques classiques, à l’histoire de l’art. De solides connaissances qui s’enrichirent encore avec le passage à l’École d’art et de restauration de Chateaurenard, puis lors des trois années passées à Paris, dans le célèbre atelier de restauration de Sylvaine Brans, avec le bonheur de pouvoir travailler sur la restauration de chefs d’œuvres du Louvre.

Alexandre Galpérine, enlumineur de nombreux poèmes de René Char l’encouragea suite à ses premières créations picturales.

Copiste au Musée du Louvre, élève de Dagher, elle pu ainsi pénétrer au plus près du mystère de la création avec notamment l’étude de Daubigny, de Chardin.

Si François Arnal lui ouvrit les portes de son imaginaire, c’est véritablement le célèbre peintre-dominicain coréen Kim En Joong qui dans ses immenses toiles, puis dans ses vitraux, la fit entrer depuis les années 90 ,dans le monde infini de l’abstraction.

De Paris à Marseille

Depuis une vingtaine d’années, Annabel, expose tant dans des galeries (à Avignon, Marseille, à l’Hôtel Drouot à Paris...), que dans son atelier. de nombreux amateurs, collectionneurs, ont ainsi pu suivre le parcours d’Annabel.

Le retour d’Annabel en Provence après quinze ans d’absence, son installation à Marseille symbolisent une étape importante dans ce parcours artistique si particulier, à savoir, une ascension vers la lumière, une recherche d’un monde bien au-delà des frontières de notre univers, en un mot, une marche vers l’invisible...

L’artiste s’attaque à de vastes formats qui lui permettent de magnifier le lyrisme de son trait par le jeu de subtiles couleurs, révélant des mondes inconnus.

"Avant de lancer le pinceau sur la toile, je me laisse influencer par divers éléments: le souvenir de la couleur d'un ciel, celui du reflet d’une lumière sur un rocher... Il faut que je sente en moi monter cette profusion d’éléments divers, visibles ou non... Dans le calme, souvent la nuit, je trouve l’énergie pour le combat avec la toile."